Journée de soutien aux personnels du service de neurochirurgie du CHU de Tours en grève depuis le 28 décembre

Nous étions présents vendredi 5 janvier, avec d'autres usagers, pour répondre à l’appel des personnels en grève qui se sont montrés très sensibles à ces marques de soutien!
Nous avons fait signer, à des usagers en colère comme nous, une pétition pour défendre notre hôpital car la fermeture de "hôpital de semaine de neurochirurgie" n'est qu'une première phase du plan COPERMO qui prévoit de supprimer 400 lits et 400 postes , Et certains services comme la cardiologie ont déjà fait l'objet de restructuration.
C’est tous ensemble que nous devons défendre notre hôpital


Commentaires

  1. Suivie depuis 4 ans et demie par le service de semaine dont je loue ici la
    qualité. Je suis atterrée par ce que je viens d'apprendre. A court ou moyen
    terme c'est à la fois la qualité de travail des soignants et l'accueil des
    malades qui est remis en cause.
    Habitant loin de Tours, je ne pourrai être présente le 8 janvier prochain
    mais sachez dès à présent que je soutiens les actions du personnel dans son
    ensemble contre la destruction de ce bel outil qu'est le CHU de Tours

    Cordialement,
    Ma. B.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Nous vous remercions pour ce touchant témoignage que nous ferons suivre aux soignants en grève.
      Cette marque de sympathie leur donnera certainement du courage dans ce moment difficile.

      Supprimer
  2. Voici deux commentaires recueillis sur notre page Facebook:

    Comment être plus reconnaissant que quand on a été confronté et que ce service a sauvé un membre de votre famille ! 6 semaines en réa-neurochirurgie , intervention en neuro-chir!
    Un service avec de très grands professionnels qui font des miracles !!!
    J’aimeAfficher plus de réactions · Franck Poupin 5 Janvier

    Mon plein soutien aux personnels soignants AS et IDE de ce service dans lequel je suis passé à 2 reprises. Nous assistons là à la "grande braderie des soins" au CHU de Tours, à la place des décideurs et de leurs tableaux de calculs excel, je ne serais pas fier mais il est vrai qu'ils n'ont jamais été confrontés à la dure réalité des services !!! Michel LAGNET infirmier retraité et ancien directeur d'IFSI.- Michel Lagnet 8 janvier

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Pour vous aider à publier votre commentaire, voici la marche à suivre :
1) Ecrivez votre texte dans le formulaire de saisie ci-dessus
2) Si vous avez un compte, vous pouvez vous identifier dans la liste déroulante Commentaire
Sinon, vous pouvez saisir votre nom ou pseudo par Nom/URL
3) Vous pouvez, en cliquant sur le lien S'abonner par e-mail, être assuré d'être avisé en cas d'une réponse
4) Cliquer sur Publier enfin.

Le message sera publié après modération.

Voilà : c'est fait.
Et un grand MERCI !!!!

Posts les plus consultés de ce blog

Soirée débat du 9 février au CNP sur la souffrance au travail

Le 9 février le collectif 37 Notre Santé en Danger s’est associé à une soirée débat initiée par ASDPRO, Association Souffrance et Dépression Professionnelle, sur la souffrance au travail. Dans le cadre du CNP, la soirée débutait par la projection du film : « Souffrance au travail, On lâche rien ! » de Daniel KUPFERSTEIN (2022). Pascale ABDESSAMAD, syndicaliste, secrétaire d'ASDPRO, partie civile au procès France Télécom était l’intervenante. Cette association aide les personnes, les organisations syndicales, qui veulent faire reconnaître les suicides et les dépressions des salariés en accident du travail et/ou en maladie professionnelle. Elle est née à Tours à l’initiative du médecin du travail de la centrale nucléaire de Chinon, Dominique HUEZ, qui s’était battu pour faire reconnaître le suicide d’un salarié en Accident du Travail.