Les 183 € d'augmentation de salaire étaient demandés pour toutes et tous mais pas seulement. Il y avait une centaine de manifestants de ce secteur pour du sens, des moyens des embauches, de meilleures conditions de travail et des augmentations de salaires.
Le nombre de participants était certes moins important qu'aux précédentes manifestations, mais la politique de division du gouvernement, en donnant à certains secteurs et pas à d'autres ne les a pas découragés et de nouveaux secteurs de soins viennent renforcer le mouvement. Il y avait des personnels d'horizons variés, des exclus du Ségur par exemple les aides-soignant.es des services à domiciles de l’ADMR 37 mais aussi les syndicalistes des hôpitaux de Tours, Loches, Chinon, l’ADAPEI, la mutualité etc..
La fondation Verdier a souligné la victoire de leur mobilisation contre le plan de licenciements qui a été revu par le conseil départemental, (voici le texte qui a été lu par un syndicaliste). Le collectif santé avait participé à l'appel aux côtés de la CGT, SUD et FO et le SNU Ter
Dans le parcours, le cortège a rencontré les acteurs de la culture qui occupent le grand théâtre depuis vendredi 12 mars. En lien avec la mobilisation nationale de ce secteur, ils demandent la réouverture des lieux de culture et un plan d’aide d’urgence. La rencontre s’est faite sous le signe de la solidarité.
Elle s’est terminée devant la préfecture avec des prises de parole.