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Affichage des articles du octobre, 2017

Non à la fermeture de la périnatalité d'Amboise


Pour éviter cela, soutenons le centre de périnatalité d'Ambroise dans sa lutte!

Lettre ouverte à mesdames et messieurs les députés

Lettre ouverte à mesdames et messieurs les députés
(envoyée par la Coordination Nationale des  Comités de Défense des Hôpitaux et Maternité de proximité)
Vous débattez en ce moment sur le projet de loi de financement de la Sécurité Sociale, comme l’ont fait  vos prédécesseurs depuis 1996, temps fort des différentes réformes qui ont peu à peu écarté les salariés de la gestion de leur « Sécu ».Ce n’est donc pas un mandat comme les autres et nous souhaitons vous interpeller sur les conséquences de votre vote.Si 3 milliards d’Euros d’économie sont d’ores et déjà à l’ordre du jour, la Ministre de la Santé déclare qu’il y aurait 30% de dépenses inutiles, ce qui représente un montant de 70 milliards d’Euros !Ces annonces ont fait l’effet d’un électrochoc pour les usagers et pour les hospitaliers, chacun se demandant quel service sera supprimé dans son établissement.Car, il ne faut pas en douter, c’est l’hôpital qui va faire les frais de cette politique d’austérité (moins 1,5 milliards sur les crédits hospitaliers)  et la mise en place des projets territoriaux de santé va permettre de tailler dans le vif : mutualisations des services administratifs, logistiques et techniques, répartition des activités de santé sur des territoires de plus en plus grands, fermetures encore de maternités (comme Decazeville et Oloron Ste Marie très récemment), Urgences, SMUR, Chirurgies etc….N’oublions pas l’augmentation du forfait journalier, bien entendu.Tout ça est enrobé dans un joli paquet cadeau : développement de l’ambulatoire, de la télémédecine, mais ces mesures, qui peuvent être utilisées dans certaines situations, ne peuvent en aucun cas répondre à l’ensemble des besoins de soins de la population. Elles ne permettront pas de pallier le manque de personnel : la télémédecine peut permettre une relation entre un généraliste et un spécialiste, entre un service de proximité et un CHU etc... mais ne peut pas remplacer la présence d'un professionnel auprès du malade.Et que dire des EHPAD où, faute de moyens pour le secteur public, le privé lucratif a trouvé le filon pour enrichir des actionnaires au détriment de la qualité de vie des personnes âgées dépendantes ?La mise à mal du service public de santé, au moment où le pays connaît une crise sans précédent de la démographie médicale va engendrer un risque sanitaire d’ampleur.Allez-vous en prendre la responsabilité ?Que pourrez-vous dire à vos concitoyen-ne-s qui parfois n’ont plus de médecin généraliste, qui doivent attendre plus de 6 mois un rendez-vous chez un spécialiste ou pour un examen, qui doivent faire près d’une heure de route pour mettre leur enfant au monde, ou qui sont démunis car en perte d’autonomie ?Nous portons leurs voix pour vous demander de refuser ce budget d’austérité pour la santé et exiger des moyens pour répondre aux besoins de soin de toutes et tous partout.

L'hôpital public coûte-t-il trop cher ?

La chasse aux économies est lancée par la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, qui veut réduire de 3 milliards d'euros le déficit global de la Sécurité sociale en 2018. Alors que l'Assemblée nationale entame l'examen du projet de budget de la Sécurité sociale (PLFSS), elle pointe du doigt l'hôpital public, qui coûte trop cher. Alors, faut-il mettre les hôpitaux à la diète ? - Pour en parler: Dr Carole Poupon, chef du service immunologie à l'hôpital de Gonesse (Val-d'Oise), déléguée générale de la Confédération des praticiens des hôpitaux. Et Pr Laurent Lantieri, chirurgien plasticien, chef de service à l'hôpital européen Georges Pompidou. - BFM Story, du mardi 24 octobre 2017, présenté par Olivier Truchot, sur BFMTV.

Hôpital en lutte

1490 Hôpitaux, Ehpad, Cliniques, Etablissements de santé divers, en lutte depuis le début de l'année

Compte rendu de la soirée du 20 octobre 2017 sur la défense de l’hôpital de Tours

Cette soirée, que nous avions longuement préparé, a rassemblé plus de 80 personnes après l’annonce de la fermeture de 3 sites sur 5 du CHRU de Tours, dont l’hôpital Clocheville pour enfants, l’hôpital gériatrique l’Ermitage et la clinique psychiatrique universitaire de St Cyr. 
Tout à commencer par un accueil en musique

Compte rendu de la soirée du 20 octobre 2017 sur la défense de l’hôpital de Tours


Après une introduction du Collectif Santé, le documentaire de Julie Pichot, Olivier Ferraro et Charles Maumy: «Hôpital public, la loi du marché » a précédé le débat. 
Cette soirée a été l’occasion de multiples échanges entre usagers, syndicalistes et personnels de l’hôpital. Des infirmières ont décrit leurs conditions de travail et leurs difficultés croissantes à prendre en charge les patients de façon satisfaisante. La situation à l’hôpital est la conséquence des attaques contre les services publics et de la marchandisation de la santé.
Ainsi les suppressions de postes et de lits sont liées aux injonctions économiques et gouvernementales décrites dans le plan COPERMO (Comité interministériel de performance et de la modernisation de l'offre de soins) pour l’hôpital de Tours qui demande, en échange d’une enveloppe budgétaire pour travaux, le regroupement des sites hospitaliers, la mutualisation des moyens et la suppression de lits et des personnels.
Pour mémoire, le plan COPERMO a été signé par l’ancienne ministre de la santé Marisol Touraine, avant son départ et se trouve maintenant aggravé par la nouvelle ministre qui demande toujours plus d’économies aux hôpitaux. Le déficit prévu de 12 millions d’€ de l’hôpital de Tours pour 2017 est dû à la réduction des moyens affectés à son fonctionnement. Cette année encore il est prévu une nouvelle coupe budgétaire de 3 milliards d’€ pour l’hôpital public en France.
A Tours, de 1/4 à 1/3 des lits sont en passe d’être fermés à l’hôpital pédiatrique de Clocheville. Parallèlement, un nombre équivalent de lits devrait être créé dans un nouveau service pédiatrique du secteur privé (clinique privée Alliance)! 
La direction laisse entendre que l’hôpital de Clocheville serait transféré à l’hôpital Bretonneau, 
Mais, peut-on parler de transfert quand on ferme autant de lits? Cela signifierait reconstruire un nouvel hôpital pédiatrique sur le site de Bretonneau, ce n’est surement pas le cas car il n’y a pas la place. Ce qui est à craindre, c’est qu’à l’issue de ce transfert, le personnel s’occupant des enfants ne soit plus un personnel dédié. C’est déjà ce qui se prépare en hémodialyse où le personnel pour adultes est en train d’être formé pour soigner les enfants laissant craindre une mutualisation des moyens entre enfants et adultes. 
Or cette particularité tourangelle d’un hôpital pédiatrique dédié est très importante pour la région. L’intervention des usagers a également montré qu’elle était très appréciée. Ce serait un très grand recul si, par exemple, les urgences étaient communes aux enfants et aux adultes!
La direction du CHU de Tours justifie le regroupement des sites par le manque de médecins.Or, 30 postes de médecins vont être supprimés; ainsi une chirurgienne pédiatrique très compétente va partir dans le privé parce qu’il n’y a pas de poste pour elle !
Cette soirée a permis de mieux comprendre les points de vue des salariés et des usagers de l’hôpital et l’importance d’une mobilisation forte pour empêcher la destruction de notre système public de santé et ainsi permettre à tous de se soigner. 
Rendez-vous a été donné le 7 nov à 18h dans une salle du passage Chabrier à St Pierre des Corps pour continuer la mobilisation.  
Un chercheur sur l’origine du legs de Clocheville à la ville de Tours pour les enfants pauvres et malades a présenté le résultat de ses investigations. 
Une chorale « La petite rouge de Touraine » nous a présenté une version de leur composition de la chanson des canuts avec des paroles où le personnel hospitalier avait remplacé les ouvriers de la soie

Compte rendu de la soirée du 20 octobre 2017 sur la défense de l’hôpital de Tours

Des cinéastes de « Sans Canal Fixe » étaient également présents pour la réalisation d’un film sur ce thème. Des cartes de soutien ont été vendues demandant à la ministre de la santé le maintien de tous les sites, de tous les lits et de tous les postes. 
De belles illustrations faites par un membre de notre collectif décoraient la salle et montraient l’avenir de l’hôpital tel qu’il est programmé par l’administration: un hôpital déshumanisé et robotisé ! Ce n’est pas ce que nous voulons ! 
Les échanges ont continué autour d’un buffet convivial.
En conclusion, cette soirée a permis de relancer la dynamique autour de la défense de l’hôpital sachant que cette  mobilisation doit, à l’évidence, s’inscrire dans la durée.


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Compte rendu de la soirée du 20 octobre 2017 sur la défense de l’hôpital de Tours

Compte rendu de la soirée du 20 octobre 2017 sur la défense de l’hôpital de Tours

Compte rendu de la soirée du 20 octobre 2017 sur la défense de l’hôpital de Tours

La réforme de l'hôpital public, un management sans ménagement

Aujourd'hui, nous vous proposons un article du site La vie des IDEES.fr

La réforme de l'hôpital public, un management sans ménagement



il date du 5 avril 2016

témoignage d'une infirmière


témoignage d'une infirmière

La soirée du 20 octobre pour la « défense de l’Hôpital » a été l’occasion de multiples échanges entre usagers et personnels de l’hôpital. Voici le témoignage d’une infirmière lu au cours de la soirée et publié sur le site de la Rotative:

Mesdames, messieurs,
Comme vous le savez le CHU de Tours va être le théâtre d’un vaste plan de restructuration. Notre direction a d’ailleurs largement communiqué sur ce plan : nouveau bâtiment, meilleur accueil pour les patients. Mais sous couvert de modernisation ce sont bien toutes les catégories de personnel qui vont être touchées par un plan social déguisé. Bien sur, il n’y aura pas de licenciement sec mais des départs non remplacés, des contrats non renouvelés et pour la population moins de lits, des délais d’attente plus long pour leur prise en charge.
En tant qu’infirmière, je fais partie du personnel soignant.
Ce métier comme la plupart de mes collègues je l’ai choisi car comme on nous l’a enseigné lors de nos différents cursus, il permet d’appréhender la globalité d’un ou d’une patiente. Les soins, pour en rappeler la définition du Larousse, se sont : « des actes par lesquels on veille au bien être de quelqu’un, des actes thérapeutiques qui visent à la santé de quelqu’un, de son corps » mais aussi «des actes d’hygiène, de cosmétiques qui visent à conserver ou à améliorer l’état de la peau, des ongles, des cheveux..». En l’occurrence, ses soins que nous prodiguons à nos patients sont le cœur de notre métier, ils sont le moyen de conserver voir d'améliorer l’état de santé de nos patients, ils englobent des soins techniques en collaboration avec l’équipe médicale ou relevant de notre rôle propre mais aussi des soins relationnels.
De plus pour la plupart d’entre nous, nous avons choisi d'exercer notre métier au sein du secteur public, pensant éloigner la notion de « merchandising » du soin et par conséquent pouvoir prodiguer des soins sans souci de rentabilité.
Aujourd’hui nous avons bien compris que l’hôpital outre sa fonction de service public doit aussi se comporter comme une entreprise générant des profits et afin de recueillir ses dits profits, il faut rentabiliser la prise en charge non plus des patients et patientes mais des clients et clientes. Et nous comprenons bien que pour des gestionnaires, écouter, tenir une main, rassurer, parfois essuyer des larmes et même accompagner les derniers souffles ne rapportent n'en d’un point de vue financier. Mais pour nous, tout cela c’est notre quotidien.
Aujourd’hui les restructurations que l’on veut nous imposer, attaquent le cœur de notre métier, elles remettent en cause nos valeurs, ces valeurs qui font que pour satisfaire nos patients, nous sommes capables de sacrifier nos repos pour remplacer un collègue absent, de ne pas manger ou boire, tout cela, c’est un comble, au détriment de notre propre santé.
On nous demande d'être toujours plus efficaces, toujours plus rapides ou mieux organisés. Mais certains soins demandent du temps. L’exécution d’une toilette de patient alité est, selon les protocoles de soins, estimé entre 45 et 60 minutes. Faute de personnel suffisant, nous n’aurons plus le temps d'effectuer ce soin correctement entraînant un risque pour l’état cutané de nos patients, un risque d'augmentation des infections nosocomiales.
On nous demande de ne plus changer les draps aussi souvent, qui accepterait de se reposer dans des draps souillés?
Par la diminution au sein de nos effectifs, on nous contraint à effectuer plus de tâches sur notre temps de vacation au risque pour nous de devenir maltraitants, au risque de commettre des erreurs mettant en jeu la santé de nos patients, mettant en jeu notre diplôme.
Ce manque de temps à accorder à nos patients entraînera indéniablement une augmentation de leur angoisse, de leur agressivité ainsi que celle de leur famille mettant en difficulté voir en insécurité nos collègues. Comment assurer une éducation thérapeutique de qualité à nos patients en courant d'une chambre à l’autre?
Comment encadrer les personnels de demain, quand nous même, vous nous obligez par manque de temps, manque de moyens, manque d’effectifs à ne plus respecter scrupuleusement les protocoles de soins et d’hygiène.
Toutes ces interrogations sont pour nous source de stress, de malaise, de mal-être, d’insécurité au sein de notre travail. Nous nous soucions de la qualité de prise en charge de nos patients, nous demandons droit à travailler dans de bonnes conditions et en sécurité. Et pour cela, nous demandons des moyens humains pour le faire.
Nous ne pouvons pas accepter de faire «payer» à nos patients des politiques de santé qui mènent à la deshumanisation de l’hôpital, nous ne pouvons pas accepter de devenir seulement des techniciens du soin. Nous vous réclamons le droit de pouvoir rentrer chez nous en se disant nous avons fait notre travail correctement, tout simplement nous vous réclamons le droit d’être fier d'être des soignants.


Comme si c'était hier!

Voici un article de la Rotative pubiblié le 26 octobre ... 2014, mais toujours d'actualité:

CHRU de Tours : « On assiste à un démantèlement de l’hôpital public »

Comme si c'était hier!
L’une est infirmière, l’autre est aide-soignante dans l’un des services du CHRU de Tours où des postes vont être supprimés. Elles sont toutes deux militantes au syndicat SUD Santé Sociaux 37, et sont mobilisées contre le nouveau plan de la direction de l’hôpital qui consiste à fermer des lits dans les spécialités d’ORL, d’Ophtalmologie, d’Orthopédie et de Gynécologie. Un plan qui affectera tant les usagers que les personnels.

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Soutien au personnel de la périnatalité d'Ambroise

La ville d'Amboise est plus connue pour son château que pour son hôpital. L'attention est plus mise sur le tourisme que sur la santé des habitants.
Après la fermeture de la maternité, de l'oncologie et du laboratoire, c'est au tour de la périnatalité d'être sur la sellette.
A l’appel du personnel de la périnatalité, de FO , SUD de l’hôpital et de l’UL CGT d’Amboise, plus d’une centaine de personnes se sont retrouvées samedi 14 octobre devant l’hôpital d'Amboise, rassemblant le personnel, les femmes ayant utilisé la périnatalité, les militants syndicaux. Le collectif santé soutenait ce rassemblement.
La maternité d’Amboise est déjà fermée depuis plusieurs années. C’est au tour de la périnatalité, qui n’est budgétée que jusqu’à la fin de l’année, d'être touchée. L’Agence Régionale de Santé supprime 250.0000 € considérant que c’est à l’hôpital de Tours de payer. Il y a actuellement 8 sages-femmes et 4 auxiliaires. L’ARS veut fermer l’hébergement et continuer les consultations. Actuellement les femmes viennent parfois 2h après l’accouchement de l’hôpital Bretonneau de Tours à 25kms d'Amboise. Elles peuvent rester 3, 4 jusqu’à 5, 6 jours en fonction des besoins. Une sage-femme expliquait l'importance de ces premiers jours pendant lesquels les liens se créent entre la mère et l'enfant. Ce n’est pas seulement de la technique, c’est un soin global comprenant l’aspect psychique ; il faut montrer comment on s’occupe d’un bébé d’autant plus que dans la société actuelle il n’y a pas toujours l’entourage familial pour assurer la transmission. Il faut pouvoir prévenir les dépressions du post-partum. L’avenir ultérieur de l’enfant est très dépendant de cette primo-relation entre la mère et l’enfant. Il ne faut pas voir que le médical pur, or, c’est vers cela que s’oriente la politique budgétaire actuelle, tendant à développer les" usines à bébés".

Soutien au personnel de la périnatalité d'Ambroise

Soutien au personnel de la périnatalité d'Ambroise

La formation d’aide-soignant(e) de Loches en danger

La formation d’aide-soignant(e) de Loches pourrait fermer en 2018. Un non sens économique selon le maire de Ligueil qui donne l’alerte (voir la Nouvelle République du 15 octobre).

Une journée chargée

Journée chargée aujourd’hui pour le le collectifsanté37.
Ce matin, nous étions présents au marché de St Pierre des Corps, pour inviter la population à notre soirée d’information sur l’Hôpital, vendredi prochain 20 octobre, salle de la médaille de St Pierre des Corps, à partir de 18h.
L’après-midi a commencé par une présence rapide de plusieurs d'entre nous au rassemblement de la place Jean Jaurès de Tours pour le droit au logement, car une bonne santé nécessite d’être correctement logé. 
Puis nous avons continué vers Amboise pour être présents au rassemblement de soutien au personnel de la périnatalité de l’hôptital. L’attachement des Amboisiens à ce service nous a rappelé celui des tourangeaux à l’hôpital de Clocheville.

Une journée chargée

Une journée chargée

Une journée chargée

Invitation à la soirée du 20 octobre



Les enfants ont besoin de leur hopital clocheville.
Il faut garder un hôpital specifique pour les enfants!
L’annonce de la décision de supprimer l’hôpital pédiatrique Clocheville a fait l’effet d’une bombe pour la population de la région qui en reste incrédule. Certaines familles avaient même déménagé pour s’installer à Tours afin de se rapprocher de cet hôpital pour enfants ! C’est dire son importance !
Avec la fermeture d’ici 2026 de l’hôpital pédiatrique de Clocheville si emblématique et nécessaire pour toute la région, ainsi que celle de l’Ermitage et de la Clinique Psychiatrique Universitaire, la situation est grave pour la santé dans la région et exige la mobilisation de tous. Le CHU de Tours concentre l’offre de soins publique de la région mais il est lui-même l’objet de restructurations avec plusieurs centaines de suppressions de postes et de lits.
Le collectif 37 Notre santé en danger » appelle usagers, personnel de santé et organisations associatives, syndicales et politiques à venir à la soirée de défense de l’hôpital le 20 octobre . Elle aura un caractère festif, informatif, de débat et de réflexion.
Accueil en musique avec un accordéoniste,
Débat après passage d’un documentaire posant les problèmes des hôpitaux du point de vue du personnel et des usagers
Pendant le débat animation pour les enfants
Participation d’une chorale "La petite rouge de Touraine" qui nous présentera sa chanson sur l’hôpital
Buvette et buffet pour terminer et continuer à échanger
Participation libre
Les parents les familles, les usagers, la population, tous ensemble avec le personnel pour la défense de l’Hôpital de Tours et:
le maintien de tous les sites !
le maintien de tous les lits !
le maintien de tous les postes !
Nous vous attendons, salle de la médaille, 6 av. de la République à Saint-Pierre-des-Corps

Les médecins hospitaliers se joignent à la grève du 10 octobre

Aujourd'hui, nous vous proposons un article du site Europe 1


http://www.europe1.fr/societe/les-medecins-hospitaliers-se-joignent-a-la-greve-du-10-octobre-3455012