la santé, le social et le médicosocial étaient dans la rue le 11 janvier

Les personnels, étudiants et usagers ne baissent pas les bras en ce début d'année. Ils étaient 600 à exprimer leur colère. Le social et le médicosocial étaient majoritaires, rappelant qu'ils n'acceptaient pas l'exclusion des 183 € du Ségur. Les conditions de travail et d'exercice étaient aussi dénoncées avec les conséquences négatives pour les personnes prises en charge. Le cortège s'est symboliquement arrêté devant l’hôpital pour enfants de Clocheville qui éprouve des difficultés et dont une partie du personnel est en grève pour obtenir des renforts.

Il y avait beaucoup de jeunes dont une partie en formation, qui en orthophonie, qui en institut du travail social...

Le collectif 37 Notre santé en danger avait sa banderole Plan blanc colère noire mettant en regard le plan blanc du CHU avec l'abandon de certains soins et les restructurations avec fermetures de lits qui se succèdent.

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Journée de soutien aux personnels du service de neurochirurgie du CHU de Tours en grève depuis le 28 décembre

Nous étions présents vendredi 5 janvier, avec d'autres usagers, pour répondre à l’appel des personnels en grève qui se sont montrés très sensibles à ces marques de soutien!
Nous avons fait signer, à des usagers en colère comme nous, une pétition pour défendre notre hôpital car la fermeture de "hôpital de semaine de neurochirurgie" n'est qu'une première phase du plan COPERMO qui prévoit de supprimer 400 lits et 400 postes , Et certains services comme la cardiologie ont déjà fait l'objet de restructuration.
C’est tous ensemble que nous devons défendre notre hôpital


Soirée débat du 9 février au CNP sur la souffrance au travail

Le 9 février le collectif 37 Notre Santé en Danger s’est associé à une soirée débat initiée par ASDPRO, Association Souffrance et Dépression Professionnelle, sur la souffrance au travail. Dans le cadre du CNP, la soirée débutait par la projection du film : « Souffrance au travail, On lâche rien ! » de Daniel KUPFERSTEIN (2022). Pascale ABDESSAMAD, syndicaliste, secrétaire d'ASDPRO, partie civile au procès France Télécom était l’intervenante. Cette association aide les personnes, les organisations syndicales, qui veulent faire reconnaître les suicides et les dépressions des salariés en accident du travail et/ou en maladie professionnelle. Elle est née à Tours à l’initiative du médecin du travail de la centrale nucléaire de Chinon, Dominique HUEZ, qui s’était battu pour faire reconnaître le suicide d’un salarié en Accident du Travail.