L'hôpital public coûte-t-il trop cher ?

La chasse aux économies est lancée par la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, qui veut réduire de 3 milliards d'euros le déficit global de la Sécurité sociale en 2018. Alors que l'Assemblée nationale entame l'examen du projet de budget de la Sécurité sociale (PLFSS), elle pointe du doigt l'hôpital public, qui coûte trop cher. Alors, faut-il mettre les hôpitaux à la diète ? - Pour en parler: Dr Carole Poupon, chef du service immunologie à l'hôpital de Gonesse (Val-d'Oise), déléguée générale de la Confédération des praticiens des hôpitaux. Et Pr Laurent Lantieri, chirurgien plasticien, chef de service à l'hôpital européen Georges Pompidou. - BFM Story, du mardi 24 octobre 2017, présenté par Olivier Truchot, sur BFMTV.

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Journée de soutien aux personnels du service de neurochirurgie du CHU de Tours en grève depuis le 28 décembre

Nous étions présents vendredi 5 janvier, avec d'autres usagers, pour répondre à l’appel des personnels en grève qui se sont montrés très sensibles à ces marques de soutien!
Nous avons fait signer, à des usagers en colère comme nous, une pétition pour défendre notre hôpital car la fermeture de "hôpital de semaine de neurochirurgie" n'est qu'une première phase du plan COPERMO qui prévoit de supprimer 400 lits et 400 postes , Et certains services comme la cardiologie ont déjà fait l'objet de restructuration.
C’est tous ensemble que nous devons défendre notre hôpital


Soirée débat du 9 février au CNP sur la souffrance au travail

Le 9 février le collectif 37 Notre Santé en Danger s’est associé à une soirée débat initiée par ASDPRO, Association Souffrance et Dépression Professionnelle, sur la souffrance au travail. Dans le cadre du CNP, la soirée débutait par la projection du film : « Souffrance au travail, On lâche rien ! » de Daniel KUPFERSTEIN (2022). Pascale ABDESSAMAD, syndicaliste, secrétaire d'ASDPRO, partie civile au procès France Télécom était l’intervenante. Cette association aide les personnes, les organisations syndicales, qui veulent faire reconnaître les suicides et les dépressions des salariés en accident du travail et/ou en maladie professionnelle. Elle est née à Tours à l’initiative du médecin du travail de la centrale nucléaire de Chinon, Dominique HUEZ, qui s’était battu pour faire reconnaître le suicide d’un salarié en Accident du Travail.